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MauvaisBon 
Ecrit par FADM  
Wednesday, 09 December 2009

Mexique : du 16 novembre au 13 décembre 2009

Voilà quatre jours que nous avons repris la route après  avoir passé une dizaine de jours en bord de mer à Mulaqué, entre farniente et petits restos. Nous avons récupéré notre courrier, un grand merci à Véronique qui fut notre intermédiaire

Nous quittons la route côtière au sud de Manzanillo, un grand port mexicain et pénétrons dans les terres. La route s'élève et nous traversons des immensités de cannes à sucre. De temps en temps sur les hauteurs inaccessibles à la machine, les paysans plantent de petites parcelles de maïs. Le maïs est récolté sec ici et sert de base à beaucoup de plats mexicains : quesallidas, tortas, tortillas etc...

 Les grandes villes et villages défilent lentement en fonction des aléas de la route : Colima, Tuxpan, Jiquilpan, Zamora. L'emblème du Mexique pourrait être « le Tope » (le ralentisseur). Il y a en partout, par dizaines, par centaines, par milliers depuis la frontière. Chaque village, chaque carrefour en est pourvu en abondance. Je passe mon temps  la main sur le levier de vitesse. La conduite n'est qu'arrêts et redémarrages. Pénible ! Vous sortez de quatre heures de conduite rompus. Une autre particularité des routes mexicaines que je n'ai pas encore soulignée, ce sont comme en Grèce, les croix et autres monuments commémoratifs d'accidents mortels qui jalonnent la route, sauf qu'ici, chaque croix, chaque monument est entretenu et fleuri de frais ce qui donne l'impression que tous ces accidents sont récents. On a l'impression de rouler dans une sorte de  cimetière et à la longue on se sent mal à l'aise.

Morelia est une grande ville à une centaine de kilomètres de Mexico en continuelle extension. Comme les légions romaines, les petites maisons cubiques surmontées d'une citerne à eau s'alignent en rangs serrés sur les collines. Il ne fait pas bon se perdre dans une ville mexicaine. Les panneaux indicateurs sont souvent absents, tout comme la signalisation en générale. Il n'est pas rare de se trouver nez à nez avec un autre véhicule après avoir emprunté un sens interdit non signalé.

Pour nous rendre à San Juan Teotihuacan, nous avons décidé de contourner la ville de Mexico, la plus grande au monde avec ses vingt six millions d'habitants, par le nord. Je ne souhaite pas m'y aventurer en camping car. Le problème c'est que nous ne passons pas assez au nord de cette ville tentaculaire qui squatte toutes les collines à des dizaines de kilomètres à la ronde et très vite nous nous retrouvons dans une circulation intense et avançons pare-chocs contre pare-chocs serrés comme des sardines en boite. Après la banlieue et ses petites rues où s'entassent récupérateurs en tous genres : cartons, plastiques, ferrailles nous nous retrouvons dans de grandes avenues en travaux : l'horreur ! Il nous faudra quatre heures pour trouver l'issue de ce capharnaüm et rejoindre en fin les pyramides de Teotihuacan.

   

La plus ancienne cité du continent américain et site éponyme d'une civilisation du Mexique central, antérieure à celle des Toltèques. Teotihuacan fut occupée dès le IIIe siècle av. J.-C. La ville fut florissante jusque vers 700, mais fut mise à sac et brûlée en 750. Parmi ses principaux monuments, on compte la pyramide du Soleil, la pyramide de la Lune et la voie des Morts, une large chaussée bordée de temples en ruine, le palais de Quetzalpapalotl et le palais des Jaguars. Les murs de certains de ces temples sont décorés de fresques aux couleurs vives qui représentent sans doute des thèmes mythologiques ou religieux. L'artisanat était par ailleurs très développé, comme en attestent les nombreux masques, statuettes et céramiques mis au jour. Les édifices et les maisons d'habitation étaient organisés autour du centre monumental de la ville selon un plan en damier. Les habitants de Teotihuacan étaient très proches de la culture maya contemporaine du Yucatán et du Guatemala. Leur civilisation influença fortement les peuples qui apparurent plus tard au Mexique, tels les Aztèques.  

                                    

Nous avons trouvé une petite place de camping dans le parc d'une maison dont la propriétaire arrondit ses fins de mois. Une dizaine de campings cars occupent les lieux, tous en provenance du Québec. Le soir tout le monde prend l'apéritif sur la pelouse, aligné en rang d'oignons pour pouvoir obtenir une connexion internet, marrant !

 

La route se poursuit vers le sud. Sur notre droite, les sommets des volcans Ixtaccihuatl et Popocatépetl sont masqués par les brumes de pollution et de chaleur de la ville de Mexico. Il faut rouler plus de deux cents kilomètres pour que s'estompent les brumes et que l'on puisse apercevoir au loin sur notre gauche le Pic Orizaba, le plus haut sommet mexicain à 5610 mètres d'altitude. Passée la localité de Tehuacan, la route s élève à mesure que nous nous enfonçons dans la sierra Madre orientale. Les cactus refont leur apparition et nous accompagnent jusqu'à 1500 mètres d'altitude. Ensuite, les chênes verts, les pins,  les yuccas et quelques fougères gigantesques prennent le relais. Nous croisons de petits villages et quelques hameaux dont les habitants vivent d'une parcelle de maïs dont la farine servira à confectionner les tortillas qui accompagnent chaque plat, notre pain en quelque sorte, de quelques cultures vivrières et fruitières. De temps en temps, un cheval ou plus souvent un âne ou une mule broute une herbe maigre sur le bord de la route. De virage en lacet, de colline en montagne, la route nous conduit à Oaxaca.

         

C'est certainement la plus belle localité que nous visitons dans le pays. La vallée d'Oaxaca vit arriver ses premiers habitants aztèques puis espagnols vers le début du XVème siècle. La ville est construite dans une cuvette étroite entourée de hautes montagnes. Son centre s'établit autour de la place de la constitution bordée de restaurants et cafés dont les terrasses sont abritées par des arches à la fraicheur agréable et d'où partent plusieurs rues pavées, souvent interdites à la circulation.

         

La visite de l'église  Santo Domingo, une des pièces maitresses de l'architecture de la ville, construite par les dominicains au milieu du XVIème et aujourd'hui convertit en musée, nous révèle le trésor de Monte Alban. Joyaux et statuettes découverts lors des fouilles du site archéologique situé à une dizaine de kilomètres de la ville. Une exposition originale nous fait découvrir le passé de la région d'Oaxaca depuis l'époque préhispanique jusqu'à nos jours.

              

 

Nous trouvons place dans un camping en plein centre ville. Ici peu de touristes, nous sommes loin de la côte. Nous sympathisons avec  un canadien et un américain qui sont installés ici depuis plusieurs années et vivent heureux. Le soir nous prenons un verre et passons la dernière soirée autour d'un feu de camp en savourant de bons hamburgers maison.

                     

De là, nous partons en taxi vers Monte Alban, centre de la civilisation zapotèque au Mexique, Le site établi au sommet d'une colline artificiellement aplanie est constitué d'une place centrale et de deux grandes plates-formes au nord et au sud, l'ensemble est entouré de nombreuses terrasses et palais. Des pyramides, des temples, des passages souterrains, un observatoire et un jeu de balle y furent également découverts. L'un des édifices les plus anciens, le temple des Danzantes, abritait des stèles en bas-relief figurant des personnages longtemps assimilés à des danseurs mais qui pourraient en fait être les victimes de sacrifices humains. Des tombes voûtées et ornées de fresques, dont certaines sont parmi les plus belles du continent américain, témoignent de la puissance et de la richesse de cette culture. Monte Alban, occupé dès le Xe siècle av. J.-C., fut florissante de 500 av. J.-C. à 500 apr. J.-C. Elle déclina ensuite pour des raisons inconnues, les Mixtèques s'en servirent alors comme site funéraire. La ville avait été pratiquement abandonnée à l'époque de la conquête espagnole au XVIème  siècle.

                     

Mitla n'est qu'à une encablure d'Oaxaca, nous nous y arrêtons.  A l'arrivée des Espagnols, Mitla était le centre le plus peuplé de la vallée d'Oaxaca. De la cité précolombienne, il ne subsiste que cinq groupes architecturaux. Le plus remarquable est le temple des colonnes dont le hall donnant accès au temple est bordé de deux rangées de colonnes. Vient ensuite l'église construite ultérieurement à l'intérieur du site. Tous deux possèdent une architecture similaire basée sur des patios fermés sur les trois côtés par le bâtiment et deux édifices allongés ne comportant qu'une longue salle .D'origine Zapotèque, Mitla connue son apogée vers 1300 et  était sous domination Mixtèque lors de la conquête espagnole.


             

Mitla c'est aussi le centre mexicain du Mezcal, alcool distillé à partir de l'agave qui ressemble à un cactus, alors qu'il s'agit en réalité d'une espèce très proche du lys. Le mescal est fait de jus d'agave, que l'on récolte en pressant le cœur cuit de la plante, tandis que la tequila est une variété de mescal, dont la fermentation particulière se faisait à l'origine dans le village de Tequila, au nord-ouest de Guadalajara. Plus rien ne pousse dans cette région désertique de collines rocailleuses, seulement l'agave que les petits propriétaires distillent chez eux, dans leurs alambics artisanaux.

 

La route commence à s'élever à mesure que nous pénétrons dans le Chiapas. Cette région, sans doute la plus pauvre du pays,  est riche en sites touristiques. A proximité de Tuxtla Gutierrez, le fleuve Chiapas pénètre dans le profond canyon de Sumidero que nous découvrons à partir de Chiapas de Corzo. Un bateau rapide nous amène pour deux heures de fabuleuse découverte sur ces eaux bordées de falaises lisses et verticales de trois cents à mille mètres de hauteur. Notre pilote qui a une vue de faucon nous montre iguanes et singes, crocodiles et une multitude d'oiseaux. Le clou du spectacle étant une formation calcaire en forme de sapin de noël formée par une petite cascade au cours de centaines d'années et recouverte d'algues, d'herbes et de fleurs.

         

Les Chiapas vivent en tribu dans les villages de la montagne et parlent une langue indienne. Chaque village à ses propres costumes et coutumes et vit de petites plantations de maïs qu'il cultive dans la montagne sur des pentes escarpées. Ici, comme dans toutes les minorités ethniques montagnardes rencontrées sur le parcours, les gens défrichent de petites parcelles dont le bois servira à  chauffer l'habitation et à faire bouillir la marmite et plantent le maïs grain par grain, dans de petits trous qu'ils font à l'aide d'un outil en forme de gouge. Après deux ou trois ans de culture, ces parcelles appauvries faute d'engrais seront abandonnées et rendues à la forêt.

         

Le mouvement Zapatiste qui lutte contre l'inégalité et la pauvreté du Chiapas  mène une guérilla contre le gouvernement Mexicain depuis 1994, date à laquelle entra en vigueur l'accord de libre échange nord américain (Alena) signé deux ans auparavant et cela se ressent pour les simples touristes qui comme  nous, sommes  de passage. Peu avant San Cristobal de Las Casas des manifestants ont coupé la route. Nous nous faufilons sans encombre. Un peu plus loin, avant la localité d'Agua Azul, on nous jette une pierre qui endommage l'avant du camping car. D'autres touristes que nous rencontrons à Palenque ont été menacés. Il faut être prudent dans cette région et oublier le camping sauvage. A Agua Azul où nous nous arrêtons pour voir les cascades, nous devons nous acquitter de deux droits, le premier en faveur du mouvement Zapatiste et le second pour le parc national. Les deux contrôles sont espacés que de quelques centaines de mètres. Celà en dit long sur la puissance de ce mouvement et sur l'impuissance gouvernementale à solutionner le problème.

                     

Nous arrivons à Palenque, qui s'est développé pendant la période classique de la civilisation maya entre le V et VIème siècle de notre ère. D'importants vestiges et de nombreux temples, ont été retrouvés. Ils témoignent de la richesse des concepts architecturaux de cette civilisation et marquent la splendeur de l'art maya dans cette période. Les ruines de Palenque se présentent sous forme de plates-formes sur lesquelles ont été édifiées des pyramides en pierre taillée, surmontées de temples en pierre aux faîtes ajourés. La plupart des édifices ont été construits sur deux niveaux et leurs murs sont décorés de bas-reliefs et d'inscriptions hiéroglyphiques qui retracent les  événements de l'histoire du peuple maya. Les principales constructions du site sont le Palais, constitué d'un ensemble de salles, de corridors et de cours intérieures, et le temple des Inscriptions, bâti au sommet d'une pyramide d'une vingtaine de mètres de haut, renfermant  une salle reliée à une crypte par un escalier et qui recèle un sarcophage de pierre datant du VIIe siècle qui contenait les restes d'un dignitaire portant des bijoux ainsi qu'un masque de jade. De Palenque, il subsiste également un système souterrain pour l'écoulement des eaux. Une grande partie du site est enseveli sous la végétation luxuriante de la forêt tropicale. Plusieurs singes hauts perchés se régalent de fruits inconnus, sortes de petites pommes et « bercent » nos nuits de leurs cris rauques et puissants.

         

Palenque sonne aussi la sortie du Chiapas et des montagnes. Nous retrouvons maintenant des routes plus correctes et de grandes étendues plates et marécageuses à mesure que nous nous rapprochons de la côte du golfe du Mexique. L'élevage reprend ses droits ainsi que la culture de la canne à sucre demandeuse en eau.

Champoton. Nous avons traversé le Mexique d'Ouest en Est,  et les eaux du golfe nous accueillent. Des centaines d'oiseaux de mer squattent un îlot en face de la ville. De là il n'y à qu'un pas vers Edzna, site Maya de petite taille mais agréable à visiter loin de la foule. Nous sommes les seuls avec les moustiques qui nous accompagnent et nous harcèlent comme une escadrille de zéros en piqué. Dans ces conditions nous passons rapidement devant les temples restaurés, notamment la pyramide des cinq étages joliment décorée de motifs guerriers et d'hiéroglyphes.

Nous arrivons en fin d'après midi à Uxmal, chef lieu important de l'empire Maya dans le Yucatan. Ce site précolombien remonterait au VIème  siècle de notre ère. D'après le Chilam Balam de Chumayel, livre maya originaire de la ville de Chumayel, les Toltèques se sont installés sur ce territoire et ils y ont laissé leur empreinte. Les édifices en forme de quadrilatère, sont de style puuc, c'est-à-dire que les murs sont recouverts d'un parement lisse et les parties supérieures des façades sont sculptées de mosaïques en relief. Les corniches d'Uxmal sont richement décorées de serpents bicéphales, d'escargots, de tortues et de nombreux masques du dieu de la pluie, Chac. De nombreux temples ont été restaurés avec bonheur : la maison du Nain, où un gouverneur mythique a jadis résidé, la maison de la Vieille et la maison des Tortues qui doit son nom au décor du bandeau supérieur qui représente des tortues très réalistes, animal emblématique de la terre chez les Mayas. Le palais des Nonnes doit son nom aux premiers explorateurs qui ont comparé l'édifice à un couvent, le palais du Gouverneur aujourd'hui envahit par les chauves-souris et enfin la pyramide du Magicien  aux angles arrondis, formée de trois plates-formes superposées couronnées par un temple et qui domine les édifices cérémoniels de la ville qui a compté près de 25 000 habitants à son apogée. Le soir, nous assistons à un spectacle son et lumière, en fait un éclairage modulable des constructions accompagné de l'histoire des lieux à l'époque Maya.

                                    

Nous roulons maintenant vers Chichén Itza, autre site maya incontournable. Des dizaines de sites maya sont éparpillés dans le Yucatan, le Chiapas, le Belize, le Guatemala où le Honduras. Nous n'en visiterons que les plus remarquables. On pourrait croire que cette répétition de sites ne devienne ennuyeuse à la longue, mais il n'en est rien. Chaque site est différent, par la taille, la construction où la décoration des temples.

Chichén Itzá, le nom signifie « bouche des puits d'Itzá ». Il se réfère à la tribu maya des Itzá qui y vivait et aux deux puits naturels qui alimentaient la ville en eau et autour desquels était centrée la vie religieuse et culturelle. Chichén Itzá fut fondée au début du VIe siècle de notre ère et abandonnée vers 670. Reconstruite par les Itzá à leur retour dans la région, elle devint l'une des plus importantes cités du nord du Yucatán et un centre majeur de la culture maya. Au Xe siècle, la ville fut conquise par les Toltèques, des envahisseurs originaires du nord du Mexique, qui participèrent à l'essor de la ville. Elle fut désertée plus d'un siècle avant l'arrivée des Espagnols, sans causes connues.

 

Les temples se présentent comme des pyramides à degrés auxquelles on accède par de larges escaliers. Ils abritent de nombreuses chambres voûtées dont les murs sont recouverts de figures sculptées et d'inscriptions hiéroglyphiques ou de peintures brillamment colorées présentant certaines ressemblances avec l'écriture pictographique aztèque.

 

Une construction est commune à tous les sites mayas, le jeu de balle ou se déroulaient des jeux symboliques religieux.  Celui de Chichen Itza est le plus grand jamais découvert. Le terrain est bordé par deux longs murs ayant chacun un  anneau en pierre sculpté figurant deux serpents enlacés faisant saillie à sept mètres du sol. Pendant les cérémonies, les joueurs devaient parvenir à envoyer la balle dans les anneaux. Malheur aux perdants qui étaient décapités.

                                   

El Castillo est un grand temple bâti d'une trentaine de mètres de hauteur sur un tertre pyramidal  Sur chacune de ses quatre faces, un escalier mène au temple de Kukulcàn, perché au sommet de l'édifice. Le couvent des femmes, le puits sacré, le temple des Guerriers et le Caracol, une tour ronde qui devait servir d'observatoire astronomique, comptent aussi parmi les ruines les plus remarquables de ce site.

De là à Cancun il n'y a qu'un pas et c'est ce qui draine dans ce site comme à Tulum plus au sud, autant de touristes qui bouclent des tours d'une journée depuis leurs hôtels. Cancun est une ville double. La partie mexicaine délaissée des visiteurs et la partie touristique construite sur une avancée de terre dans la mer des caraïbes en forme de bras fléchit formant un lagon. De luxueux et grands hôtels bâtis à ras des flots accueillent des touristes de différentes nationalités, américains et canadiens étant fortement représentés. Une sorte d'Ibiza américaine. Nous ne faisons que passer.

        

Notre route vers le Belize nous amène à Tulum, dernier site que nous visitons au Mexique. Ce n'est pas le plus beau ni le plus grand, mais sa situation, dominant la mer des caraïbes en fait un des sites les plus courus du pays. Un escalier permet aux visiteurs d'accéder à une belle plage le temps d'une baignade.

         

Il ne nous reste plus qu'à attendre lundi pour passer au Belize voisin, le temps que passe le week-end et qu'ouvre le bureau d'assurance à la frontière. Nous en profitons pour faire un peu de farniente sur le bord de l'eau.

  

Dernière mise à jour ( Sunday, 11 December 2011 )
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